
Le procès d’Harvey Weinstein : Entre délibérations confuses et tensions grandissantes… un vrai spectacle !
En ce jour ensoleillé du 9 juin, les choses s’échauffent au tribunal de New York, où les jurés du procès d’Harvey Weinstein, le magnat du cinéma aux multiples controverses, semblent avoir perdu le fil de leur mission. Ces douze valeureux jurés, chargés de juger les accusations d’agressions sexuelles et de viols portées contre l’ancien roi des studios Miramax, ont décidé que la délibération serait leur nouvelle boussole… pleine de doutes et d’incompréhensions.
Dès le matin, le juge Curtis Farber a dû jouer les intermédiaires après avoir reçu deux notes des jurés. Dans la première, l’un d’eux confie son besoin de « parler » de cette atmosphère pesante, comme si nous étions dans un cours de thérapie de groupe. La seconde note, quant à elle, ressemblait à un appel désespéré à la rescousse. Les jurés semblaient avoir grand besoin d’un rappel sur la définition du fameux « doute raisonnable », comme si cette notion complexe était un concept totalement étranger à leur réalité. La formule magique pour débloquer la situation ? Mystère !
Mais ne vous méprenez pas, chers lecteurs, ce n’est pas la première fois que les jurés se retrouvent dans l’impasse. Le 6 juin, un autre juré a demandé à quitter ses fonctions, alléguant un comportement peu coopératif de ses camarades. Le juge, visiblement peu enclin à la compassion dans ce huis clos, a rétorqué que « ça pouvait parfois chauffer ». Une belle image de la justice, n’est-ce pas ?
Alors que ce ballet judiciaire se joue dans une salle d’audience aussi vétuste que les stratégies de défense de Weinstein, l’accusé, confortablement installé dans son fauteuil roulant, assiste impassible à ce spectacle désolant. Quelque part, on pourrait presque s’imaginer qu’il est là pour profiter du spectacle… ou pour jouer son propre rôle dans une série dramatique, version tribunal.
Ce procès, déjà annulé l’an dernier pour des raisons techniques (comme quoi, la justice aussi a ses imprévus), tente désormais de faire parler de lui pour la bonne cause. Mais avec un jury qui n’arrive pas à se mettre d’accord, on peut légitimement se demander si cette saga judiciaire ne va pas se transformer en un marathon à la durée indéfinie.
En somme, chers lecteurs, si vous avez une envie pressante de suivre un soap opera, ne cherchez plus ; ce procès est fait pour vous. Et qui sait, peut-être qu’un jour, nous verrons Harvey Weinstein sur grand écran, dans un film intitulé « La justice en déroute »… ou quelque chose dans le même esprit.