** »Los Angeles : Nouveau Terrain de Jeu pour le Président-Dictateur en Herbe »**

Les Fantaisies Militaires de Donald Trump : Quand Los Angeles Devient le Nouveau Champ de Bataille

En ce bel après-midi ensoleillé du 9 juin 2025, Los Angeles s’est métamorphosée en un prodigieux théâtre militaire, où les citoyens, champignons de l’histoire, se dressent devant des Marines et autres membres de la Garde nationale tels des gladiateurs antiques face à leurs dragons armés. Fort de l’appui de 700 Marines et de 2 000 garde-forestiers supplémentaires – que l’on imagine probablement en train de nourrir un crocodile en rébellion – notre bien-aimé président, Donald Trump, semble en passe de remporter la couronne du roi de la répression.

Pour ceux qui n’auraient pas eu la chance de suivre le feuilleton : la maire de Los Angeles, Karen Bass, en émoi, exprime ses désaccords. Dans un cri du cœur digne d’un dramaturge, elle appelle Trump à « rendre le pouvoir » aux gouvernements locaux, au gouverneur démocrate Gavin Newsom en particulier. Quelle audace d’agir sans son approbation, un acte aussi impensable que de demander à un enfant de ranger sa chambre !

Cela faisait soixante ans qu’un tel coup d’État militaire n’avait pas été vu aux États-Unis, à une époque où l’on se battait avec des machines à écrire plutôt qu’avec des tanks. Rob Bonta, le Procureur général de Californie, ne manque pas d’ironiser : « Un président dictatorial cherchant à assouvir un fantasme fou » pourrait facilement être le titre d’un film catastrophe réalisé par un cinéaste un peu trop inspiré.

L’éclat de la colère s’élève jusqu’aux cieux, Trump promettant même un spectacle flamboyant pour célébrer le 250ème anniversaire de l’armée, le 14 juin. Tous les points bleus sur le calendrier sont mis à jour, car rien ne dit « moi président » comme un défilé de chars d’assaut en pleine capitale, le tout pour fêter son propre anniversaire. N’est-ce pas délicat ? Les citoyens s’inquiètent toutefois des dégâts que ces monstres de fer pourraient causer – la question demeure : y a-t-il des souterrains de gaz sous les routes de Washington qui pourraient faire exploser la fête ?

Une chose est certaine : Donald Trump renforce son image de commandeur suprême, se parant du titre de président-autoritaire illumine, tandis que la Common Defense, ce groupe d’anciens combattants, l’invective à grand renfort de principes. Une réjouissance, non ? Peut-être que Los Angeles se transforme tout doucement en film d’action, où les héros essaient d’humaniser un scénario déjà bien tragique. Entre l’armement des rues et les combats de MMA, les États-Unis semblent naviguer entre le chaos et le spectacle. Bravo, cher pays ! Qui sait, la prochaine étape pourrait être un concert de rock sur la jeunesse armée de la nation…